Diplomatie à la Sarkozy – en Jordanie
Une parfaite illustration du narcissisme exacerbé du Tsar, de l’ineptie de son sens de la communication, et surtout du dressage des médias, en une seule dépêche. C’est possible ? Je préfère laisser le lecteur se faire une idée… Observez la fine transition…
AQABA (AFP) – Le président français Nicolas Sarkozy s’est entretenu vendedi dans la station balnéaire de Aqaba, dans le sud de la Jordanie, avec le roi Abdallah II des développements du processus de paix au Proche-Orient ainsi que la situation au Liban.
Les derniers développements du processus de paix au Proche-Orient ainsi que la situation au Liban ont été au centre des entretiens du roi avec le président français » rapporte un communiqué du palais royal.
« Les deux dirigeants ont exprimé leur inquiétude face à la situation au Liban, les parties n’ayant pas réussi à parvenir à un accord sur l’élection d’un président libanais, pour empêcher un vide politique et ses effets néfastes », ajoute le communiqué.
Le roi a remercié la France pour son aide dans « l’exécution de projets de développements en Jordanie, sa position positive vis-à-vis de ses dettes au Club de Paris, ainsi que sa disposition à aider la Jordanie dans son programme d’énergie nucléaire », selon le communiqué.
Carla Bruni accompagne M. Sarkozy en Jordanie, selon le témoignage de voyageurs à l’aéroport d’Aqaba, mais la presse a été tenue à l’écart du convoi officiel et il n’a pas été possible d’identifier l’ancien mannequin dans les voitures aux vitres teintées.
[Et, plus loin :]
Le président français s’était rendu fin décembre en Egypte où il avait passé cinq jours de vacances avec Carla Bruni. Il avait ensuite effectué une visite officielle d’un jour au Caire.
L’Elysée n’a pas donné davantage de détails sur son séjour en Jordanie, ne précisant pas s’il serait accompagné de Carla Bruni.
L’idylle de l’ex-mannequin et chanteuse avec le président français a été révélée vers la mi-décembre par des photos prises à la faveur d’une visite du couple au parc d’attractions Disneyland, dans la banlieue de Paris.
(Je n’ai coupé qu’un long descriptif des vacances de S. en Egypte avec… devinez qui ?)
Bonjour,
je vais vous dire ce qui me choque dans les frasques de l’homme orchestre en ballade en Jordanie : le voir se ballader, certes entourés de gardes du corps et de « locaux avec tout le sérieux que l’on imagine », mais certainement pas à l’abri d’un attentat -les exemples ne manquent pas !- avec un gamin perché sur ses épaules un peu comme un bouclier pour queque balle perdue. Honteux !